Des tensions, oui mais..
Raymond Domenech a reconnu, en les dédramatisant, des moments de tension en équipe de France après les matches contre la Roumanie (0-0) et les Pays-Bas (1-4). «C'est la vie d'un groupe. Il y a des moments de tension, et même quand ça fonctionne d'ailleurs. Quand vous avez vingt-trois joueurs du même niveau qui ont envie de jouer, c'est tendu.»
En prenant les journalistes à témoin, il a ajouté : «C'est comme vous. Vous êtes vingt, trente, parfois plus dans vos rédactions. Ne me dîtes pas que tous les jours la vie est belle, et que tout est rose, même si le journal se vend bien. C'est à peu près pareil.»
Il s'en est sorti par la même genre de pirouettes face à une question sur la possibilité qu'il dirige son dernier match à la tête des Bleus, mardi. «J'ai déjà répondu. Mon avenir, c'est l'Italie. Je ne vous demande pas si c'était votre dernière conférence de presse. En tout cas, c'était votre dernière question, merci au revoir.»
En prenant les journalistes à témoin, il a ajouté : «C'est comme vous. Vous êtes vingt, trente, parfois plus dans vos rédactions. Ne me dîtes pas que tous les jours la vie est belle, et que tout est rose, même si le journal se vend bien. C'est à peu près pareil.»
Il s'en est sorti par la même genre de pirouettes face à une question sur la possibilité qu'il dirige son dernier match à la tête des Bleus, mardi. «J'ai déjà répondu. Mon avenir, c'est l'Italie. Je ne vous demande pas si c'était votre dernière conférence de presse. En tout cas, c'était votre dernière question, merci au revoir.»