Ferrara: "Nous devons réagir"
Ciro Ferrara continue de compter ses hommes en attaque: avec Trézéguet et Iaquinta blessés, il ne reste que Del Piero et Amauri à disposition, le Brésilien ne s'étant pas entraîné ces derniers jours. Ferrara espère le récupérer pour dimanche: "Il descendra sur le terrain s'il sera dans de bonnes conditions pour le faire. Souvent les joueurs descendent sur le terrain en avec de légers malaises, mais je ne sais pas à quel point cette gêne peut le limiter." Au cas où il ne serait pas prêt, Ferrara pourrait lancer Immobile comme pointe ou l'aligner à côté de Del Piero comme durant l'entraînement de vendredi: "Pour Alessandro, ce serait une nouveauté mais hier pendant l'entraînement, il y a eu des tentatives uniquement dues à l'absence d'Amauri, mais cela n'est pas dit que c'est la solution. Immobile a déjà eu l'occasion d'entrer sur le terrain. Cette fois, ce serait différent, mais je ne veux pas me laisser conditionner par l'âge ou le manque d'expérience."
Revenons sur la défaite contre Bordeaux: "Les défaites que nous avons subies ont été nettes, à part peut être celui contre Naples. Nous devons réussir à gérer les bonnes situations et les moins bonnes, et nous ne devons pas être conditionnés. Il est clair que la défaite à Bordeaux nous gêne, mais nous devons réagir. L'idéal serait d'avoir une certaine continuité, mais penser que nous pouvons gagner tous les matchs seraient une erreur. Les équipes imbattables n'existent pas."
Les journaux ont mis en lumière des critiques de Diego: "Diego est venu vers moi éclaircir sa position, et après avoir parlé avec lui, je suis tranquille et satisfait du fait qu'il soit venu s'expliquer. En étant depuis peu dans notre championnat et avec quelques problèmes de langue, ses phrases peuvent être interprêtées de manières différentes. Je connais son idée parce qu'il me l'a dite en face et même s'il pensait vraiment ce qu'ont rapporté les journaux, je lui aurais répondu directement et pas par les médias."
Ces derniers jours, Gigi Buffon a défendu le groupe, et en particulier les cibles des critiques: Amauri, Diego et Melo. "Les mots de Gigi m'ont fait très plaisir. Il a bien fait de défendre ses trois coéquipiers. Je pense que le moment et la défaite ne peuvent pas être attribués à trois joueurs. Comme je l'ai dit, chacun doit prendre ses responsabilités, dans un groupe, il doit en être ainsi. La défense du groupe doit être sacrée, c'est pour cela que ses mots m'ont fait plaisir: c'est dans les moments difficiles qu'il faut savoir réagir et c'est dans ces moments qu'on voit les vrais hommes."
Les journalistes ont insisté sur les attentes: "Je suis sur le banc de la Juventus depuis vingt matchs. En championnat, faisons-nous mal? Je ne crois pas. La Ligue des Champions est plus compétitive et il me semble que la Juventus est en phase avec d'autres grandes équipes. Nous aurions pu faire quelque chose de plus à Bordeaux, comme résultat et comme approche du match, mais pour le reste, il me semble qu'on n'ait pas fait de désastres. Nous sommes là et nous pouvons encore jouer la qualification."
De retour sur le match de dimanche contre Cagliari: "Le danger le plus grand pour nous est que vous n'avez rien à faire de Cagliari. Dans le sens où l'on doit créer la bonne tension pour affronter une équipe qui, durant ces dernières journées, a montré force, organisation et brillance. Je ne pense pas, de toute façon, que mes joueurs ne soient pas concentrés: ce serait une grave erreur de penser aux autres matchs. Je me rends compte, cependant, aujourd'hui en ouvrant les journaux, qu'on n'a pas beaucoup parlé de Cagliari. Ceci est le danger et c'est aux joueurs de comprendre que nos objectifs sont différents par rapport à ceux présentés dans la presse."
L'objectif de dimanche est évidemment la victoire: "Cagliari est une équipe bien organisée et rapide. Elle a des joueurs qui, dans les contres, peuvent faire mal et qui attaquent très bien en profondeur. Elle a des qualités et l'a montré aussi à Milan. C'est un match très difficile, contre une des équipes les plus en forme du championnat. N'ayant pas d'engagements en semaine, elle peut bien travailler afin de concentrer son énergie sur le match de dimanche."
Revenons sur la défaite contre Bordeaux: "Les défaites que nous avons subies ont été nettes, à part peut être celui contre Naples. Nous devons réussir à gérer les bonnes situations et les moins bonnes, et nous ne devons pas être conditionnés. Il est clair que la défaite à Bordeaux nous gêne, mais nous devons réagir. L'idéal serait d'avoir une certaine continuité, mais penser que nous pouvons gagner tous les matchs seraient une erreur. Les équipes imbattables n'existent pas."
Les journaux ont mis en lumière des critiques de Diego: "Diego est venu vers moi éclaircir sa position, et après avoir parlé avec lui, je suis tranquille et satisfait du fait qu'il soit venu s'expliquer. En étant depuis peu dans notre championnat et avec quelques problèmes de langue, ses phrases peuvent être interprêtées de manières différentes. Je connais son idée parce qu'il me l'a dite en face et même s'il pensait vraiment ce qu'ont rapporté les journaux, je lui aurais répondu directement et pas par les médias."
Ces derniers jours, Gigi Buffon a défendu le groupe, et en particulier les cibles des critiques: Amauri, Diego et Melo. "Les mots de Gigi m'ont fait très plaisir. Il a bien fait de défendre ses trois coéquipiers. Je pense que le moment et la défaite ne peuvent pas être attribués à trois joueurs. Comme je l'ai dit, chacun doit prendre ses responsabilités, dans un groupe, il doit en être ainsi. La défense du groupe doit être sacrée, c'est pour cela que ses mots m'ont fait plaisir: c'est dans les moments difficiles qu'il faut savoir réagir et c'est dans ces moments qu'on voit les vrais hommes."
Les journalistes ont insisté sur les attentes: "Je suis sur le banc de la Juventus depuis vingt matchs. En championnat, faisons-nous mal? Je ne crois pas. La Ligue des Champions est plus compétitive et il me semble que la Juventus est en phase avec d'autres grandes équipes. Nous aurions pu faire quelque chose de plus à Bordeaux, comme résultat et comme approche du match, mais pour le reste, il me semble qu'on n'ait pas fait de désastres. Nous sommes là et nous pouvons encore jouer la qualification."
De retour sur le match de dimanche contre Cagliari: "Le danger le plus grand pour nous est que vous n'avez rien à faire de Cagliari. Dans le sens où l'on doit créer la bonne tension pour affronter une équipe qui, durant ces dernières journées, a montré force, organisation et brillance. Je ne pense pas, de toute façon, que mes joueurs ne soient pas concentrés: ce serait une grave erreur de penser aux autres matchs. Je me rends compte, cependant, aujourd'hui en ouvrant les journaux, qu'on n'a pas beaucoup parlé de Cagliari. Ceci est le danger et c'est aux joueurs de comprendre que nos objectifs sont différents par rapport à ceux présentés dans la presse."
L'objectif de dimanche est évidemment la victoire: "Cagliari est une équipe bien organisée et rapide. Elle a des joueurs qui, dans les contres, peuvent faire mal et qui attaquent très bien en profondeur. Elle a des qualités et l'a montré aussi à Milan. C'est un match très difficile, contre une des équipes les plus en forme du championnat. N'ayant pas d'engagements en semaine, elle peut bien travailler afin de concentrer son énergie sur le match de dimanche."